On se pressait tout le long du cortège papal et sur la place d’Espagne, mais surtout devant la basilique, dans les longues rues Carlo Alberto et Merulana, qui unissent Sainte-Marie Majeure à Sainte-Croix de Jérusalem et à Saint-Jean de Latran.
P. Pfister, Pages de Rome Immortelle, Arthaud 1954, p. 160